Balade au mont Panisel - Deutsch
17 Dezember 2014
Comment vous dire, comment vous raconter une balade, une randonnée, une sortie en pleine nature à faire tout simplement aux beaux jours ? Notre cité a le privilège d’avoir sur son territoire un poumon vert particulièrement dépaysant. Son nom évoque d'ailleurs des contrées méridionales... Panisel, rien que le mot fait voyager !
Un site enchanteur
Le Mont Panisel exulte d’un romantisme incroyable pour charmer le promeneur. Personne ne reste indifférent à ce lieu paisible. Il offre à ces hôtes des vues enchanteresses sur Mons, les collines et les vallées environnantes.
Il faut de bonnes chaussures pour affronter les chemins du Panisel.
Il faut de bonnes chaussures pour affronter les chemins du Panisel.
Le rendez-vous est donné à un lieu que tous les Montois connaissent : le Vieux Puit. En face de cet établissement, le chemin de l’Ermitage s’ouvre à vous.
C’est ici que la flânerie commence.
Un rien plus loin nous passons sur la gauche devant une demeure grillagée, ancienne maison de Jean Houzeau de Lehaie (1867- 1959), éminent naturaliste qui a consacré sa vie à l'étude des bambous et à l’introduction de nouvelles espèces venues du Japon, de la Chine ou encore de l'Inde. Il a étudié l'acclimatation de toutes ces espèces en Europe et en Belgique dans sa propriété de l’Ermitage située près de Mons. Pour ceux qui connaissent, c'est lui qui a fourni le terrain qui a servi à la construction du Cimetière de Saint-Symphorien.
Déjà devant nous, un chemin caillouteux s’élève peu à peu mais rassurez-vous la pente est douce et longue, la difficulté reste tout à fait surmontable. Après quelques pas au travers les bosquets, une vue magnifique s’offre à nous... La ville de Mons, son beffroi et sa collégiale, dans toute sa majesté.
C’est ici que la flânerie commence.
Un rien plus loin nous passons sur la gauche devant une demeure grillagée, ancienne maison de Jean Houzeau de Lehaie (1867- 1959), éminent naturaliste qui a consacré sa vie à l'étude des bambous et à l’introduction de nouvelles espèces venues du Japon, de la Chine ou encore de l'Inde. Il a étudié l'acclimatation de toutes ces espèces en Europe et en Belgique dans sa propriété de l’Ermitage située près de Mons. Pour ceux qui connaissent, c'est lui qui a fourni le terrain qui a servi à la construction du Cimetière de Saint-Symphorien.
Déjà devant nous, un chemin caillouteux s’élève peu à peu mais rassurez-vous la pente est douce et longue, la difficulté reste tout à fait surmontable. Après quelques pas au travers les bosquets, une vue magnifique s’offre à nous... La ville de Mons, son beffroi et sa collégiale, dans toute sa majesté.
A nous la grimpette !
Ça monte encore et toujours... Sans effort nous voilà au sommet du Panisel.
Sur la gauche après le château d’eau, nous arrivons dans une petite clairière. Nous sommes à 107 mètres de haut au point culminant du mont. Nous nous reposons sous le hêtre et savourons l’instant,un rayon de soleil nous caresse le visage.
Après cette petite pause, nous retournons une centaine de mètres en arrière, passons le château d’eau et juste sur son coin, vers la droite nous nous engageons sur le chemin.
Des sous-bois avec quelques ornières qui peuvent être boueux en une période humide mais au bout desquels nous découvrons quelques champs bordés de haies d’aubépine. Nous voici sur le versant est du Panisel.
A droite vers la descente, le chemin se fait plus raide. Le sentier longe un chalet bâti sur le flan de la colline d’où les propriétaires bénéficient d’une vue extraordinaire sur les vallées et collines. Nous descendons jusqu’au bout du chemin avec d’un coté les collines et de l’autre le bois. Quel endroit délicieux.
Sur la gauche après le château d’eau, nous arrivons dans une petite clairière. Nous sommes à 107 mètres de haut au point culminant du mont. Nous nous reposons sous le hêtre et savourons l’instant,un rayon de soleil nous caresse le visage.
Après cette petite pause, nous retournons une centaine de mètres en arrière, passons le château d’eau et juste sur son coin, vers la droite nous nous engageons sur le chemin.
Des sous-bois avec quelques ornières qui peuvent être boueux en une période humide mais au bout desquels nous découvrons quelques champs bordés de haies d’aubépine. Nous voici sur le versant est du Panisel.
A droite vers la descente, le chemin se fait plus raide. Le sentier longe un chalet bâti sur le flan de la colline d’où les propriétaires bénéficient d’une vue extraordinaire sur les vallées et collines. Nous descendons jusqu’au bout du chemin avec d’un coté les collines et de l’autre le bois. Quel endroit délicieux.
Retour par la campagne
Plus bas, un point commémore la bataille de Mons 1914 /1918 juste à la croisée du chemin de terre et du chemin pavé dit de Bethléem.
Nous prenons sur la droite et nous nous retrouvons sur un chemin pavé. Nous longeons maintenant le flan sud de la colline. A droite, nous passons à coté de la rivière, un joli pont l' enjambe mais ne traversons pas.La balade continue sur le chemin pavé qui dessert deux belles propriétés du 19eme. Maintenant les champs avec comme seuls spectateurs, nous faisons la rencontre de quelques chevaux et vaches. Ici règne une atmosphère de campagne éloignée.
Au bout de quelques centaines de mètres, une enseigne nous rappelle que nous sommes bien en agglomération « MONS –BORINAGE – MONS ». La ville semble si lointaine. Quelques vestiges d’un ancien moulin, une cascade toute poche et des fermes joliment restaurées ravissent notre regard. Nous gambadons rue MauriceFlament et découvrons les belles maisons bourgeoises qui la composent. Ici, les seuls embouteillages se déroulent au printemps à la période de pontes des grenouilles ! Elles descendent par centaines de la colline pour rejoindre les zones humides de l’autre côté de la route. Ces jours-là, des bénévoles veillent à la bonne transhumance de nos amis les Batraciens.
Nous arrivons maintenant au Vieux-Puit et la promenade s’achève ici.
Alors, si lors d’une période ensoleillée vous avez une heure ou deux, profitez de ce lieu, il est magique, il s’en dégage une quiétude toute particulière. A coup sûr, le Mont Panisel vous enchantera.
Nous prenons sur la droite et nous nous retrouvons sur un chemin pavé. Nous longeons maintenant le flan sud de la colline. A droite, nous passons à coté de la rivière, un joli pont l' enjambe mais ne traversons pas.La balade continue sur le chemin pavé qui dessert deux belles propriétés du 19eme. Maintenant les champs avec comme seuls spectateurs, nous faisons la rencontre de quelques chevaux et vaches. Ici règne une atmosphère de campagne éloignée.
Au bout de quelques centaines de mètres, une enseigne nous rappelle que nous sommes bien en agglomération « MONS –BORINAGE – MONS ». La ville semble si lointaine. Quelques vestiges d’un ancien moulin, une cascade toute poche et des fermes joliment restaurées ravissent notre regard. Nous gambadons rue MauriceFlament et découvrons les belles maisons bourgeoises qui la composent. Ici, les seuls embouteillages se déroulent au printemps à la période de pontes des grenouilles ! Elles descendent par centaines de la colline pour rejoindre les zones humides de l’autre côté de la route. Ces jours-là, des bénévoles veillent à la bonne transhumance de nos amis les Batraciens.
Nous arrivons maintenant au Vieux-Puit et la promenade s’achève ici.
Alors, si lors d’une période ensoleillée vous avez une heure ou deux, profitez de ce lieu, il est magique, il s’en dégage une quiétude toute particulière. A coup sûr, le Mont Panisel vous enchantera.
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